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Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci

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Louise M. Lavandière

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Louise M. Lavandière

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MessageSujet: Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci   Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci EmptyVen 16 Jan - 16:25


Abraxas & Louise


« Parfois, on assiste à des scènes terribles. Malheureusement le monde est une jungle, l’homme est un loup pour l’homme et surtout pour la femme... »

L'ACTION SE PASSE une nuit de Sept. 1943

Je m'ennuie. Une main devant la bouche pour ne pas faire voir mes amygdales à mes voisins, mais le mal est fait. Je suis tellement passionnée par ce cours que je n'arrive pas à m'empêcher de montrer ma fatigue a force d'écouter ce professeur. Ma main crispée sur ma plume, j'essaie de toute mes forces de ne pas tomber sur ma table. Une belle table qui me semble ressembler plus à un oreiller qu'autre chose à cet instant. Je veux dormir. Les paroles incessantes du professeur deviennent peu à peu une berceuse à mes oreilles. Non mais vraiment ?! Qu'es-ce qui m'a pris part la tête en acceptant d'aller dans ce cours d'astronomie ? Non la vraie question c'est qui a décidé que nous devions avoir ces cours en pleine nuit ? Qu'est-ce que j'en ai à faire d'Orion, Altaïr et Mars ? Comme si cela m’intéressait que oh mon dieu cette étoile à bouger d'un putain de millimètre entre aujourd'hui et hier ? Je veux aller dans mon lit... Ou si je dois être réveillée à cette heure-ci, autant que ce soit à cause d'un amant particulièrement performant en sport !

Mon regard se perd sur le corps du dit professeur d'Astronomie. Mouis, c'est vrai qu'il est passable. Bien proportionné, brun, et de beaux yeux bleu. Pas comme les miens. Le bleu de mes yeux fait penser à un bleu abyssale, trop sombre pour s'y plonger sans risque m'a-t-on souvent dit. Bleu marine, presque noir. Eh bien cela change des blond aux yeux pale me direz-vous, ce n'est pas plus mal quand on y pense ! Enfin, tout cela pour remarquer que je pourrait très bien faire de Monsieur Saddler un bon quatre heure, ou quart de minuit, en voyant l'heure. Même si je trouve qu'il commence à perdre ses cheveux. Bah, c'est ça la vieillesse, il doit bien avoir quarante balais notre professeur... Mouais, pas le meilleur spécimen de la classe, tout compte fait. J'adore les hommes plus vieux sincèrement, ils ont plus d’expérience ce qui rend l'expérience plus torride généralement, mais je préfère les moins de trente-cinq ans. En espérant que maman n'entende jamais les pensées de sa fille... Pourquoi moins de trente-cinq ans ? Pour la simple raison que c'était l'age de mon père lorsque j'ai eu une première aventure, et que je ne veux jamais, oh non jamais, pouvoir comparer mes partenaires à Père. Crise cardiaque assurée...

Un frisson me parcourt à cette idée. Vite, quelque chose pour oublier, il doit bien avoir quelques chose dans mon sac pour me faire penser à autre chose... En plus ce n'est pas comme si j'avais l'intention de dessiner cette carte des étoiles. Oh ! Un trésor dans mon sac. Cette chose tellement magnifique qui allie plaisir gustatif et imaginatif : une sucette ! J'ouvre le papier plastique qui entoure ma friandise, ne prêtant pas attention au bruit que cette petite action fait dans le silence presque religieux de la classe. Bruit qui évidemment fait retourner plusieurs personnes vers moi, j'offre mon visage le plus innocent à celles-ci quand mes yeux tombent sur Abraxas. Je déglutit sans pouvoir m'en empêcher, gardant tant bien que mal mon sourire d'ange alors que les alarmes sonnent dans ma tête. Quelque chose qui dit un truc du genre "Maday! Maday! Tous aux abris !" Je détourne les yeux essayant de reprendre mon analyse les personnes potable dans la classe, tout en oubliant que je vais sûrement me faire tuer après les cours.

Je n'ai jamais compris ce qu'Abraxas avait contre les sucreries, mais il déteste me voir en manger une. Si je n'avais pas autant de pouvoir sur lui je dirait que c'est de l'esclavage, de la torture ! J'ai le droit de manger ce que je veux, et de toute façon il me faut ma dose de sucre par jour. Non ! je ne suis pas droguée ! Comment on pourrait être droguée à quelque chose d'aussi innocent que des friandises ? C'est complètement absurde. En plus j'adore les sucettes ! J'adore le goût qu'elles ont, leurs formes, les tourner dans ma bouche et passer ma langue dessus. C'est mon péché mignon de sucer. Et personne ne me l'enlèvera ! C'est pour cette raison que je snobe totalement le regard d'Abraxas tout à fait concentrée à m'appliquer de sucer correctement ma friandise favorite, jusqu’à la fin du cours.

Lorsque le calvaire est enfin finis, le cours bien entendu, j'attend que tout le monde sorte pour partir à mon tour. Peut-être que je vais pouvoir me promener dans les couloirs, pourquoi pas retrouver un de mes amants, sans me faire suivre. Je dit au revoir au Professeur Saddler et m'apprête à descendre les escaliers, lorsqu'une main m'attrape le bras. Mon cris se perd dans ma gorge alors que je vois qui me fait face et me cache aux yeux du professeur qui descend à son tour les escaliers.

" Qu'est-ce que j'ai fais encore ?!"

Abraxas, qui d'autre ? Me regarde de cette façon-là et je n'aime pas ça. Bon, j'avoue que mon ton étais légèrement exaspéré mais je ne voulais vraiment pas avoir une discutions avec lui, en haut de la plus haute tour de l'école anglaise, en pleine nuit et sans une âme vivante autour. Je voulais pas jouer ce soir. J'avais envie de...

" Lâche-moi Xas ! J'ai pas le temps de jouer ce soir. je dois aller retrouver mon rendez-vous!"
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Dernière édition par Louise M. Lavandière le Mar 20 Jan - 22:15, édité 1 fois
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Abraxas L. Malefoy

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MessageSujet: Re: Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci   Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci EmptyDim 18 Jan - 15:54

Man, all I want to do is dance

feat louise m. lavandière

Comme des petits cailloux traçant un chemin, toutes les pensées d'Abraxas étaient tournées vers Arachnée. Il regrettait amèrement les mots durs qu'il lui avait lancé à la figure, plus violemment encore qu'une gifle. Les dernières pages de son carnet de cuir noir, caché sous son lit, avait été lacérées par sa plume. Toutes étaient recouvertes de complaintes et d'« Arachnée » raturés. Parfois l'on pouvait deviner aussi des traces de larmes séchées, là où le papier était gondolé.
Le cours d'Astronomie auquel il assistait ne suffisait pas à résister à ses pensées. Il ne pouvait s'empêcher d'imaginer les grands yeux d'Arachnée, son étreinte et sa voix. Il avait mis un terme à leur relation, avait abandonné ce qu'il aimait le plus pour pouvoir être plus libre. Hélas, il ne se doutait pas alors que la liberté aurait un goût amer si prononcé, le goût amer des barreaux d'une prison.

La carte d'Abraxas n'était pas soignée et claire comme à son habitude. Elle était brouillonne, mal-appliquée, raturée. Il n'était pas concentré, comme las. Complètement aspiré ailleurs, loin des cieux qu'ils étudiaient. Planant à dix milles lieux, plus haut encore. Il était comme emporté dans une torpeur dont personne ne semblait capable de le retirer. Le calme ambiant du cours ainsi que la silence des élèves était tout propice à ses regrets envahissants.

Un bruissement de papier soulevait en même temps que lui de regards courroucés en la direction de Louise. Abraxas la toisait alors, agacé. Comme une crise de jalousie, il fallait que ce soit elle qui l'éloigne plus encore d'Arachnée. Comme si elle lui interdisait de penser encore à elle. Leur arrangement était pourtant clair : elle lui appartenait mais lui non. D'ailleurs, c'est elle qui avait contribué, largement, a fixer ces règles. Abraxas, dès lors, ne lui autorisait pas la moindre jalousie, la moindre possession. Il disposait d'elle quand il lui semblait opportun et, elle, ne devait piper mot.

La cloche massive était à l'autre bout du Château mais on l'entendait quand même distinctement marquer les deux heures du matin qui mirent fin au cours nocturne. Abraxas fulminait, ne sachant quelle attitude adopter entre la tristesse arachnéenne, sa lassitude et la rage que Louise lui inspirait. Il se rua hors de la Tour d'Astronomie pour rejoindre les escaliers étroits en colimaçon pour regagner son dortoir. Puis sa rage le submergea, il fit volte-face et remonta, à contre courant de tous les autre élèves, les marches pour regagner la Tour. Il profitait d'un renfoncement dans le mur pour s'emparer des épaules de Louise et l'attirer dans la pénombre qu'il habitait alors.

« Qu'est-ce que j'ai fais encore ?! » - demanda-t-elle, à mi-chemin entre surprise et exaspération. Abraxas haussa un sourcil, interrogateur, inquisiteur même. Il voulait rappeler la place de Louise qu'il avait dans leur marché : elle était sienne. Sa poigne se faisait plus forte sur son épaule, presque douloureuse. « Lâche-moi Xas ! J'ai pas le temps de jouer ce soir. je dois aller retrouver mon rendez-vous! » - il enfonçait plus encore ses doigts dans son épaule, Louise lâcha un petit cri aigu et se tordait comme pour échapper à l'étreinte douloureuse. « Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça. » - lui rappela-t-il glacial. Une haine profonde semblait l'habiter, attisée par Arachnée et Louise. Il ne faisait aucun doute qu'il était décidé à passer ses nerfs sur sa camarade de classe. « Et j'en n'ai rien à faire de ton rendez-vous. Il va être annulé. » - ordonna-t-il d'une voix calme mais tout aussi féroce. Il avait décidé que Louise serait avec lui ce soir et il n'en serait pas autrement. Tom Jedusor et lui n'avaient pas prévu de se voir ce soir, il avait donc tout son temps.

« Ma parole, ne reste pas ici et suis-moi ! » - lança-t-il par dessus son épaule. Louise le rattrapa alors, sur ses talons. Abraxas tapota avec sa baguette la serrure de la salle de classe qui, en un cliquetis métallique, vacillait sur ses gonds. Il poussa Louise à l'intérieur et fermait la marche derrière elle. Un second tapotement sur la porte et celle-ci se refermait, ne permettant plus l'accès aux élèves rôdeurs. « Bon, déshabille-toi : ce soir j'ai aucune envie de discuter. » - disait-il sans un regard pour elle, observant la Forêt Interdite, au loin, dans la pénombre. Après quelques minutes, il faisait volte-face et observait alors Louise avec un rictus d'agacement. Elle avait conservé ses vêtements, s'était même assise sur une chaise de classe. La rage d'Abraxas redoublait alors « je pensais avoir été clair...! » - hurlait-il en fondant sur elle. Il attrapait ses cheveux dans sa main, les tirant vers le sol. Le visage de la jeune fille et celui d'Abraxas n'était qu'à quelques centimètres d'écart. Là, il lui murmura « tu as peut-être oublié comment c'était, toi et moi ? »
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MessageSujet: Re: Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci   Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci EmptyDim 18 Jan - 23:26


Abraxas & Louise


« Parfois, on assiste à des scènes terribles. Malheureusement le monde est une jungle, l’homme est un loup pour l’homme et surtout pour la femme... »

L'ACTION SE PASSE une nuit de Sept. 1943

J'ai envie me perdre dans un mélange de volupté et de douceur ce soir. Je veux pas passer ma nuit avec Abraxas. C'est toujours très... intense avec lui, un peu trop parfois. Enfin ce n'est pas comme si notre relation datait d'hier, cela fait maintenant deux ans et demi que nous sommes proche et je commence à le comprendre un peu. Même si il est vrai qu'il n'est pas le gars le plus facile a cerner du tout du tout. Pas comme les autres. Beaucoup plus intense dans ses mots, ses gestes et sa façon d'être. Si les autres savaient...

Un glapissement aiguë s'échappe de mes lèvres. Comme un cris de douleur animale. Abraxas me broie l'épaule. J'ai envie de pleurer sous la morsure de ses doigts fin. Avant, je ne pensait qu'une personne aussi fine qu'abraxas pouvait avoir autant de force, je l'ai appris à mes dépents au fil de notre "association". Mais ce n'est rien n'es-ce pas ? Après tout je le mérite sûrement. Abraxas ne fait rien au hasard, il n'est foncièrement méchant, c'est juste qu'il ne métrise pas sa force. Ou ne veux pas la métriser pour compenser cette apparence légèrement chétive qu'il a. La douleur descent le long de mon bras, me donnant des fourmis dans la mains. J'essaye de me dégager de cette entreinte quand sa voix me coupe dans mon élan.

« Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça. »

Une voix glaciale, tendu, sauvage, intense. Un ton qui me fait frisonner jusqu'au fond de mon âme. Il ne mécoutera pas. Pas ce soir, où la haine est présente dans tout les pors de sa peau d'albâtre. En fait, je ne suis même pas sûre qu'il me vois vraiment à cet instant. J'ai peur de bouger. Comme un gibier qui s'imobilise après avoir entendu du bruit dans les buissons, sauf que je ne vais pas courir pour échapper au prédateur. Je n'ai aucune porte de sortie si ce n'est de croiser des yeux froid comme la glace. Deux pupilles plus fines que jamais, les iris assombirs par l'émotion dévastatrice qui amine Abraxas à cet instant.

« Et j'en n'ai rien à faire de ton rendez-vous. Il va être annulé. »

Perdue dans son regard, je sursaute violemment losqu'il prend une nouvelle fois la parole. Pourtant, sa voix s'est faite plus douce, malgré l'ordre explisite qu'il vient de me donner. Douce comme un brevage des plus exquis où se cache le plus mortel des poisons. Je ne me doutais pas que j'allais passer une de ces soirées intenses en compagnie de Malefoy. Il me lâcha soudain et commença à remonter les marches. Je m'adosse contre le mur cherchant à apaiser mon coeur affolé dans ma poitrine. Abraxas a toujours été un homme plus dangereux que certains ne voudrait l'admettre. Son autorité se fesait à travers la violence. Que celle-ci soit verbale ou physique. Comme un surplus de colère, un appel à la liberté, qu'ili aurait enmagasiner toute son enfance, et qui essaye de s'échapper par tout les moyens possibles.

« Ma parole, ne reste pas ici et suis-moi ! »

Je relève la tête. Il ne s'est même pas retourné en me disant ces mots. Comme s'il était persuadé que je n'allais pas courir loins de lui, ou essayer de me sortir de ce piège qui se referme peu à peu sur moi. Et il avait raison de penser cela. Jamais je ne le laisserai dans cet état là tout seul. Jamais je ne fuirait devant cet homme qui est Abraxas. Je me rapproche de lui, soucieuse des évenements qui suivront même si j'ai une petite idée de ce que sera le futur proche. Je suis derrière lui alors qu'il réouvre notre salle de classe d'un simple sortilège de première année. L'idée est bien venue de sortir ma baguette pour lui faire du mal, ou le stupefier et m'en aller, mais je ne le fit pas. Peut-être que je devrai, mais je ne veux pas trahir cet homme qui me tourne le dos. Parce que son attitude à mon égard, je veux la comprendre. Je veux savoir pourquoi il est comme cela. C'est le problème avec Abraxas. Dès que je découvre quelque chose sur lui, une autre couche de mystère apparaît, me donnant l'envie d'en savoir encore plus. Encore et toujours plus. Un cercle sans commencement ni fin. Je ne bronche pas lorsqu'il me pousse à l'intérieur de la classe, ni en entendant le verrou se refermer comme une porte de prison.

« Bon, déshabille-toi : ce soir j'ai aucune envie de discuter. »

C'est encore sans un regard qu'il me lança ces mots tel un os à son chien. Mes mains se soumettent à son ordre faisant sauter les premières boutons de mon chemisier quand je relève les yeux, arrêtant mon geste sans m'en rendre compte. Je m'assoie sur la première chaise qui me passe sous la main, perdue dans ma contemplation. Abraxas semble venir d'un autre monde, la sillouette ainsi découpé par la lueur de la lune. Une ombre solitaire, immobile face au temps, paraissant si calme dans la nuit. Ironie du sort quand je sais ce qu'il en ait véritablement. Je ne bouge pas, calmant ma respiration au maximum, cherchant à m'imprégner de cette scène qui me fait face. La lune donne un aspect si mystérieux, presque mystique à Abraxas à cet instant. Un visage qui le rend...

"Magnifique..."

Comme un secret qui s'échappe libre de mes lèvres, je murmure ce mots, pensant à haute voix ce que cette scène me fait rensentir. Instant ephemère qui se romps lorsque le principal acteur se retourne vers moi. Il m'observe sans rien dire durant quelques secondes, me fixant, alors qu'un rictus apparaît sur ses lèvres. A cet instant, plus qu'un autre jours, il me fait penser à un prédateur jugeant sa proie, plus imposant que jamais, son ombre envahissant la pièce, marquant son territoire. Me rapelant ma place face à lui. Je voie son corps se tendre, prêt à bondir sur moi, et c'ets seulement à cet instant que je me souviens de sa demande et de ma position.

« je pensais avoir été clair...! »

Son hurlement me fait sursauter. Toute la haine qui l'animait ne s'étais pas taris au contraire. Il fond sur moi sans me laisser le temps de porter ma main à mon chemisier pour défaire le reste des boutons. Sa main se lève, vive comme jamais, m'obligeant à fermer les yeux, anticipant une gifle qui ne vint jamais. a la place, je sens une vive douleur, alors qu'il me tire les cheveux vers le bas. M'obligeant à prendre une position inférieur à la sienne. Je retiens avec peine la douleur qui veux s'échapper de mes lèvres. Lèvres qui n'étais plus qu'à quelques centimètres en celles d'Abraxas, alors qu'il murmurait froidement.

« tu as peut-être oublié comment c'était, toi et moi ? »

Comment l'oublier ? Comment oublier que j'avais fait le choix il y a plus de deux ans de devenir la partenaire d'Abraxas ? De lui faire croire obéissance et soumission lorsque j'essayais simplement de percer le mystère et les secrets qui l'entourent ? Comment oublier la première nuit qu'ils avaient passé ensemble ? Les moments où il me semblait si perdu et fragile derrière ce monde de violence qu'est le sien ? Comment oublier toute ces colères que j'ai réussit à calmer ? Comment oublier cette soumission qu'il veux de moi ? Ce collier qu'il m'a offert comme une preuve de son appartenance ? Ce manque total de sentiment amoureux qui nous unie ? Juste cette relation de soumission et de domination qu'est la notre. Comment ose-t-il me demander si j'ai oublier tout ça ?

"Je ne pense pas avoir oublié de mettre mon collier aujourd'hui..."

Mon murmure n'a d'égal que le siens si ce n'est la douceur que je met dans mon ton. Comme pour le rassurer de ma loyauté envers lui. A sa violence j'ai toujours répondu avec calme et apaisement. Cela ne sert à rien de s'énerver lorsqu'il est dans cet état, sauf si on veux prendre un coup bien sûr... Ce qui n'est pas mon cas à cet instant. Ma main descent vers mon chemisier lentement, comme pour ne pas donner raison à cette haine qui hante Abraxas. Je défait les deux tres boutons, laissant apparaitre au creux de ma gorge le collier qu'il m'a offert. Je prend dans ma main le pendentif en forme de chien qui se cache entre ma poitrine pour lui rappeler cette preuve.

"Je t'appartiens Abraxas... Pourquoi je l'oublierai ?"

Mes lèvres se fondent sur celles de mon dominant, toujours dans cette position inférieur qu'il m'a mise. Je ne sais pas si j'arriverai à faire taire cette colère qui anime ses yeux, mais s'il y a bien une chose qui est à ma porté, c'est de de faire monter le désir de n'importe quel homme. Je n'ai aucun scrupule à me servir de mes connaissances aquises sur le désir au fil de mes conquêtes. De plus, Abraxas ne s'est jamais plaint de mon savoir dans ce domaine-ci. Je le sens frémir alors que notre baiser s'approfondit. Ses mains ne deviennent pas tendre non. Il n'est pas doux Abraxas. Juste intense. J'oublie de continuer à défaire mon chemisier qui laisse maintenant apparaitre de la dentelle noire. Je veux juste le rassurer. Lui faire comprendre que s'il y a bien une constance dans sa vie c'est moi. Juste essayer de la calmer un peu. Et la seule manière que je connait avec lui c'est de laisser parler le language du corps avant les mots. Seules les actions compte. rien d'autre.

"juste a toi... "
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MessageSujet: Re: Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci   Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci EmptyMar 20 Jan - 0:56

Man, all I want to do is dance

feat louise m. lavandière

Il n'y avait ni amour, ni affection. Seulement des réponses mécaniques à des états bestiaux. Il n'avait que peu de choses à voir avec Louise, il ne la considérait que trop peu. Pourtant, il ne pouvait se résoudre à ce que sa possession lui soit dérobée, volée. Alors il marquait indéfiniment son territoire, la laissait croire en sa liberté sans jamais oublier de lui rappeler qui était le dominant des deux. Il se plaisait à la réduire, la considérer comme un vulgaire insecte nuisible, que l'on ne supporte simplement pour se divertir. Louise n'avait aucune envergure, elle était une chose sans avis ni sentiment. Si Abraxas n'avait pas décidé de s'amuser avec, elle serait resté dans l'indifférence, l'ignorance de tous. Somme toute, Abraxas lui avait fait un cadeau en lui daignant un regard, une caresse puis des nuits.

Rien à voir avec Arachnée. Elle était femme, douce et féroce à la fois. Comme une source folle de chaleur, elle savait lui rendre les mains moites et le cœur battant. Son odeur lui était un parfum agréable, entêtant. Sa peau soyeuse était toute parsemée d'un goût exquis, sucré-miel et agréablement chaud. Parfois, même, Abraxas se surprenait à être tout emmêlé dans la toile d'Arachnée, une toile de soie douce et tiède dans laquelle, finalement, il aimait être prisonnier. Aucune personne ne semblait pouvoir égaler Arachnée tant il l'aimait. Après tout, elle était...  « Magnifique... » - Louise elle-même lui enlevait les mots de la bouche. Encore une fois elle lui refusait de penser plus encore à Arachnée. Abominable jalouse.

 « Je ne pense pas avoir oublié de mettre mon collier aujourd'hui... » - Ce stupide collier, rien de plus qu'un objet pour asservir plus encore. C'était Tom qui lui avait donné l'idée, lui qui appelait Louise « le toutou d'Abraxas » avec un mépris impressionnant. Il avait ainsi semé les germes d'une blague de mauvais goût que nombre de Serpentard partageait en secret. Louise était la risée d'un petits groupes d'étudiants, sans même qu'elle ne s'en rende compte. Abraxas permettait cela car Tom en était l'instigateur, sinon personne n'aurait eu le plaisir de se gausser d'une de ses propriétés. Que diraient-ils, là, en la voyant minauder et s'engouffrer en la bouche d'Abraxas ? Lui-même n'en savait rien, il n'y réfléchissait pas en sa présence, trop occupé à la violenter et se contenter. Définitivement, avec Louise il n'y avait ni sentiment ni attirance, seulement deux corps en lutte.

« Je t'appartiens Abraxas... Pourquoi je l'oublierai ? » - Abraxas esquissait un sourire contenté, il aimait savoir que Louise était toute à elle, comme à sa merci. Elle et son collier, elle pensait que ça la rendait unique, comme un animal domestique auquel son maître serait attaché. Mais il n'en était rien si Louise était « Juste à toi... » - Abraxas, lui, n'était à personne. A Arachnée peut-être.

Brutalement, Abraxas repoussait Louise qui paraissait décontenancée. Elle était peu habituée à ce qu'un garçon lui résiste. Abraxas était au fait de cela. Parfois il aimait s'en amuser, inverser les rôles et lui montrer que, parfois, ses charmes pouvaient ne pas faire effet. Bien sûr, c'était un mensonge. Elle avait toujours su exciter follement Abraxas, faire ressortir un lui une bête sauvage et imprévisible, un prédateur en recherche de proie à dévorer. Plus brutalement encore, il la repoussait. Louise était alors étendue sur le sol, comme pour plaire à Abraxas autant qu'à elle. Là, elle continuait son petit numéro de charme, en tentant de plonger son regard plein d'envie dans les yeux rageurs d'Abraxas. Parfois, Louise lui rappelait les femmes de joie qu'il avait pu apercevoir dans son enfance, lorsqu'il accompagnait ses parents dans des rues moins respectables que celles de d'habitude. « Parfois, tu me dégoûtes » - vomissait-il en s'approchant d'elle, conquérant. Il se dégageait de façon habile de sa robe de sorcier. Désormais vêtu d'un simple t-shirt sans manche blanc et de ses sous-vêtements, il s'allongeait de tout son long sur Louise, pesant de tout son poids sur elle. Il ouvrait alors large sa bouche pour lui mordre férocement le coup. Abraxas ignorait les petits couinements de Louise, seul comptait son plaisir. Il sentait les doigts habiles de Louise lui parcourir le dos, le prenant avec force dans ses bras pour l'attirer tout contre elle. Le souffle de la jeune femme se faisait plus profond, intense et passionné. Avec ses bras musclés et vifs, Abraxas se dégageait de son emprise avec un sourire machiavélique. Là, il se débarrassa de son t-shirt et l'envoya quelques mètres plus loin. Un sourcil interrogateur se rehaussait sur le visage d'Abraxas. Louise s'exécutait alors et, rapidement, était nue. Ses courbes éclairées par la lueur de Lune rendaient fou Abraxas, incontrôlable. Le garçon se ruait une nouvelle fois sur elle, attrapant ces poignées avec force et brutalité. Sans aucun doute aurait-elle des bleus le lendemain mais il n'en avait cure. Un sourire goguenard s'étirait sur son visage lorsqu'il lui demandait, tout bas à l'oreille de Louise, « J'imagine que ton rendez-vous doit fouiller tout le Château à ta recherche, non ?... »
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MessageSujet: Re: Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci   Jouer sous les étoiles [feat. Abraxas] Bisounours passez votre chemin, Merci EmptyMar 20 Jan - 22:43


Abraxas & Louise


« Parfois, on assiste à des scènes terribles. Malheureusement le monde est une jungle, l’homme est un loup pour l’homme et surtout pour la femme... »

L'ACTION SE PASSE une nuit de Sept. 1943

Du moins, il devait le croire. Il devait croire que je me considérais totalement et purement sienne. Jamais il ne devrait douté de moi. Et si pour cela je devais être "son chien" alors qu'il en soit ainsi. Croit-il que je ne sait rien de mon surnom qui rode entre les murs de l'école ? Que je ne suis qu'un animal avec un collier pour ces amis... Et encore plus pour Jedusor ? Mon souffle se fait plus court alors que je pense à lui. Comment pourrais-je l'approcher s'il me considère comme tel ? Si Abraxas est dangereux, et intense, que dois-je dire de son chef qui déclenche des frissons en mon seins en croisant à peine son regard aux reflets grenat ? Je ne peux pas être attiré par cet être noir. Je n'en ai pas le droit. Parce que je ne pense pas à cette idéologie de la pureté du sang. Parce que je ne veux pas me mettre en danger plus que je ne le suit déjà... Je ne veux pas essayer de plonger mon regard dans le siens, je ne veux pas de devoir dire non à cet homme. Et ce qui me fais le plus peur c'est d'être dans l'incapacité de pouvoir dire non à Jedusor...

Abraxas me rejette violemment au sol et je l'en remercie. Je ne dois pas oublier avec qui je suis et pourquoi je le suis. Ne pas penser à autre chose qu'à mon rôle dans cette pièce. Je suis la catin de Malefoy et j'aime ça. Je ne suis qu'une soumise à son désir et le miens. Je ne suis rien d'autre à cet instant. Aussitôt, mon corps prend une position plus alléchante sur le sol. Je regarde Abraxas avec des yeux qui semblent embrumé par le plaisir d'être ainsi. A sa merci. Une main qui commence à jouer avec mes cheveux, l'autre qui caresse mes cuisses, je reste dans mon rôle. Celui d'une fille sans cervelle qui n'attend qu'une chose : donner satisfaction à son maître. Mes yeux rivé dans les siens, lui debout sous la lune, moi allongée à ses pieds. Une position qu'il aime bien de moi. Comme si je n'étais qu'un corps, un jouet sans âme, un chien, une putain.

« Parfois, tu me dégoûtes »

Je réprime le rire qui me traverse. S'il savait... S'il savait ce que je pense de moi à cet instant. Je vomirai les mêmes mots que lui en me regardant. Mais ais-je le choix si je veux en connaitre plus sur mes ennemis ? Comment croit-il que je collectionne les secrets ? Ne sait-il donc pas, lui plus que quiconque, qu'un homme comblé est un homme qui parle ? Non, alors qu'il s'approche de moi conquérant, vêtu si finement, il ne voit qu'un corps prêt à satisfaire tout ses désirs. Une fille de joie dont il a la priorité, qu'il a acheté. Il ne voit que ce que je lui laisse voir. Comme tout les autres. Une fille facile qui tombe dans les filets du Dieu Suprême des basiliens. Ironie, que ce dieu représente le bien. Pourquoi avoir choisi de donner le prénom du Bien suprême, selon une religion païenne, à celui qui me fait face ?

Celui qui appuis son corps contre le mien, me mordant le cou sans aucune preuve de douceur. Ses dents manque de faire perler le sang qui coule dans ma carotide. Pourquoi j'aime cette violence ? Pourquoi je ne peux m'empêcher de gémir sous ses crocs ? Pourquoi malgré tout mes efforts je reste accro à cette domination ? Mes doigts caressent le dos d'Abraxas, mes mains à même sa peau brûlante. Je ne peux m'empêcher de l'attirer encore et toujours vers moi. Plus, toujours plus de contact. J'ai envie de beaucoup plus, comme toujours. Complètement dépassée par les sensations qu'il éveille en moi, sans jamais me demander la permission. Si j'avais le choix, je m'éloignerai de cet homme qui m'est aussi indispensable que la poudre la plus pure. Mais je ne veux, ne peux pas... Je ne pourrais jamais.

Mon souffle se bloque alors qu'il se retrouve torse nu. Pourquoi il me fait autant d'effet ? Ce n'es qu'une mission bon sang ! Une simple mission, un jeu... qui dure depuis plus de deux ans... Comment mon corps peux être toujours aussi chamboulé par cet homme lorsque mon coeur ne se donne même pas la peine d'accéléré ? Certaines personnes pensent que le sexe pour le sexe cela ne marche jamais très longtemps, et que souvent pour ne pas dire toujours, des sentiments naissent entre les deux protagonistes. Et bien ils ont tord. On peux désirer un homme sans que celui-ci n'affole le coeur. Désir, passion est très différent de l'Amour. C'est autre chose. Ce sera toujours autre chose. Je me retrouve nue devant lui, alors qu'il plonge sur moi, les yeux fou et incontrôlable. Manquant de briser mes poignets sous la violence de sa poigne. Et cela m'étais égale. C'est ce qui fait mon statut devant Abraxas. Aussi malsain et honteux que cela puisse être, j'aime cette violence en lui, la douleur ne fait que rendre mon souffle plus court encore. Faisant trembler de désir ce corps traître qui est le mien.

« J'imagine que ton rendez-vous doit fouiller tout le Château à ta recherche, non ?... »

Mesquin. Je sais parfaitement pourquoi il me demande cela. Il veux seulement me déstabiliser. Me prouver que même a cet instant, dans cette position, il est totalement en contrôle de ses émotions et de son corps. Il veux que je m'énerve, pour lui donner raison d'être plus brutale envers moi. Il a soif de violence. Je ne dois pas réagi. Je ne dois pas... Mais les mots sortent sans que je ne puisse les empêcher.

"Pourquoi ? Tu veux qu'il se joigne à nous ? Ou tu aimerai que je le baise devant toi ? "

Ma voix se fait plus sèche que je n'aimerai. Jetant mes mots avec hargne. Mes yeux toujours dans les siens. Je sens la haine qui remplit mes iris. Ce sentiment brute qui déchire tout sur son passage. Je n'en peux plus de le voir trop sur de lui. Sûr de son contrôle autant de lui-même que de ma personne. La dernière partie de ma phrase commence à le faire réagir. C'est exactement ce que je veux. Suis-je donc folle d'insinuer que je pourrait laisser une personne me prendre devant lui ? Ce serai la mort assurée pour moi et mon amant. Abraxas, supporterait mal de voir quelqu'un lui prendre son jouet. Alors que je suis sûr que je contraire lui plairait grandement. Prouver à une personne qu'il a l'emprise totale sur moi. soumise à tout ses désirs. Mais ce n'est pas assez. Je veux qu'il perde complètement son calme. Parce que je veux le veux le pousser à faire une bêtise... A parler sous l'émotion. Alors je continue

"Ou plutôt devrais-je dire elle. Tu veux la baiser devant moi ?"

Ses yeux deviennent aussi noir que les miens. Une position aussi intime que la notre pour une tension qui mélange savamment haine et luxure. Passion dans toute sa splendeur. Je sais parfaitement qu'Abraxas ne pense même pas que mon rendez-vous de ce soir était une fille. Non, il pense que je parle d'autre chose. Je le vois dans le miroir de son âme. C'est en étant aussi colérique que j'arrive à en découvrir beaucoup, beaucoup plus qu'il n'aimerai le savoir. S'il y a bien une chose que j'arrive a faire depuis le temps c'est de voir au delà de la colère de mon partenaire. Et en ce moment, je vois de la fureur certes... mais avec une pointe de peur. Ce qui me déstabilise un peu je dois l'admettre. Il a peur que je sache un autre secret. Un de ceux qu'on protège pour ne pas être détruit.

J'en sais déjà assez, je ne vais pas pousser le bouchon trop loin. Salazar seul sait ce qu'Abraxas pourrait faire pour garder ce secret... Secret. Cela ne m'empêche pas que vouloir en savoir plus, beaucoup plus sur cette histoire. Et je vais commencer mes investigation dès que je le pourrai. Pour le moment... Ma main se faufile jusqu'à l'entre jambe de mon partenaire, arrachant un feulement animal à celui-ci. Oui, les meilleurs rapports avec Abraxas, sont ceux où il laisse éclater toute sa colère. Un sourire candide sur les lèvres, que je lèche sans même m'en apercevoir, je me rapproche de mon amant, mordillant un lobe d'oreille avant de murmurer.

"Et si nous laissions de côté la fille qui devait être mon rendez-vous pour que tu puisses enfin faire de moi ce que tu désire... Abraxas Malefoy ?"

to be continued
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